Molecule - Interstellar
(Musea)
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Cosmic atmosphere with a touch of progressive sound

Un disco così sarebbe stato forse più usuale negli anni '70. Perché forse oggi nessuno pescherebbe a piene mani l'ispirazione dal progressive e dal rock cosmico. Ma dato che questi generi continuano a essere oggetto di culto, ecco che il francese Gérard Verran, con il nome d'arte di Molecule, ha dato alle stampe un album ispirato da quel periodo. Il nome Interstellar ( impegnativo di per sé visto che fa venire in mente Interstellar space di John Coltrane) indica un album dove Verran intende descrivere gli elementi del cosmo. Lo fa con 9 brani strumentali con voci campionate in alcuni momenti, collegati tra loro da un esile sottofondo di vento spaziale, e che come base hanno un tappeto elettronico dove compaiono momenti acustici. Ne consegue un lavoro gradevole, anche se a un primo ascolto può non sembrare tale: basta chiudere gli occhi e immaginarsi paesaggi da film di fantascienza. Bello ad esempio i passaggio tra Isomorphisme, segnata da una nervosa serie di disegni pianistici, e Atmposhere con un disegno melodico ispirato dalla calma e dalla contemplazione. Ricordiamo anche Eclipse molto suggestiva anche se un po’ easy nei suoi rimandi ad atmosfere da Pink Floyd. Ma l’one-man-band Verran ha fatto un lavoro degno di attenzione. Difficile da reperire al di fuori del circuito web.

Michele Manzotti

Un disque pareil aurait été plus usuel pendant les années '70, parce que aujourd'hui personne ne tirerait son inspiration du progresive et du rock cosmique. Mais puisque ces genres continuent à être des objets de culte, voilà que le français Gérard Verran, sous le pseudonyme de Molécule, a publié un album inspiré de cette période. Le nom Interstellar (nom qui engage, parce qu'il fait venir à l'esprit Interstellar space de Coltrane) indique un album où Verran veut décrire les éléments de l'univers. Il fait cela par 9 morceaux instrumentaux, avec des voix choisies dans quelques moments et liés entre eux par un faible fond musical de vent spatial dont al base est un tapis électronique où il existe des moments acoustique. Il en résulte un travail agréable, même si la première fois qu'on l'écoute, il ne peut pas le sembler: il suffit de fermer les yeux et de s'imaginer des paysages de films de science-fiction. Par exemple ,c'est très beau le passage entre Isomorphisme, marqué par une série nerveuse de desseins à piano, et le dessein mélodique d' Atmosphère, inspiré à la tranquillité et à la contemplation. Nous rappelons aussi Eclipse, très évocateur, même si un peu easy dans ses renvois aux atmosphères Pink Floyd. Mais le one-man band Verran a fait un travail digne d'attention quil est difficile à repérer en dehors du circuit web
(traduzione di Silvia Tagliaferri)